Se former à l’interculturel : Expériences et propositions

Cet ouvrage invite à nous interroger sur notre rapport à l’autre, nos préjugés et ce qui détermine notre appartenance culturelle consciente. Il offre une diversité d’articles et de propositions sur l’interculturalité dans un contexte de mondialisation.

Le centre de documentation Tiers Monde, auteur de cet ouvrage, se pose en guide de l’interculturel. Il nous donne des pistes de compréhension, comme le chapitre consacré à «Identifier les obstacles à la rencontre interculturelle»; mais nous encourage aussi à aller plus loin en nous proposant des pistes de mises en pratique avec l’exemple de «La démarche culturelle pour mettre fin aux situations de violence».

L’intérêt de cet ouvrage réside dans le partage d’expériences vécues sur le terrain. L’authenticité de ces expériences nous permet de mieux appréhender notre rapport à l’autre dans cette diversité mondiale. Appréhender une culture différente n’est pas seulement regarder notre voisin comme porteur d’une autre culture, mais d’apprendre une autre façon de percevoir le monde. Il est bon de rappeler l’importance de l’échange et de la compréhension entre cultures pour lutter contre le repli sur soi. Cela a permis à l’humanité de mieux comprendre les phénomènes sociaux et d’évoluer vers un meilleur vivre ensemble. L’interculturalité, c’est l’importance de faire attention à notre «voisin» sans pour autant oublier notre culture.

Cet ouvrage publié la première fois à la fin des années 1990 peut sembler désuet, mais reste d’une étrange actualité. En cette période de repli sur soi, ne serait-il pas important de rediriger le débat sociétal vers une réflexion sur la valorisation de la diversité culturelle afin d’inventer une meilleure façon de vivre ensemble?

Centre de Documentation Tiers Monde Paris (CDTM) Se former à l’interculturel. Expériences et propositions, Paris. Editions Charles Léopold Mayer, 2000. 140 pages.

Solutions d’Associations, le monde associatif a des idées

La Fonda et le mouvement associatif ont lancé le mercredi 15 mars 2017 le projet : Solutions d’associations qui a pour but de mettre à l’honneur la parole des associations pour leur permettre de s’exprimer sur leur point de vue et idées pour résoudre des problèmes pour l’avenir de notre société.

Solutions d’associations c’est quoi ?

Créé dans le cadre des débats entourant les élections de 2017 le site internet de Solutions d’associations réunit les prises de paroles d’associations, collectifs et fédérations de tous horizons. Il a pour objectif de rappeler l’expertise et le savoir-faire des associations, la pertinence de leurs idées et des actions qu’elles mettent en œuvre et qui mériteraient d’être davantage valorisées.

Problématiques environnementales, économiques, culturelles, de santé, d’éducation, de solidarité, de cohésion sociale, de justice, d’emploi, d’aide au développement ; les associations pourront s’exprimer sur ces différents sujets.

Le fonctionnement du site

Sur le site les contributions associatives sont regroupées par enjeux :

  • Santé et Handicap
  • Éducation et formation
  • Emploi et économie
  • Environnement et alimentation
  • Aide au développement
  • Solidarité
  • Cohésion Sociale
  • Justice, droits, prévention
  • Culture

Logo solutions d'associations

Chaque contribution rédigée spécialement pour ce site est traitée en 3 étapes par les associations :

  1. Le constat qu’elle fait sur la situation actuelle et le problème qui en découle.
  2. Les enjeux à traiter si la situation n’évolue pas.
  3. Les solutions, idées ou actions réalisées par l’association sur le terrain pour résoudre le problème.

Pour s’exprimer sur les véritables enjeux à traiter lors du prochain quinquennat et d’idées à développer pour y faire face le site sera alimenté chaque semaine de nouvelles prises de paroles associatives. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de Solutions d’Associations.

Inondation au Pérou : QUETZALMA lance un appel à dons

Cellule d’urgence et intervention solidaire : PEROU 2017

Des pluies torrentielles au Pérou ont causé des inondations et des glissements de terrain. Près de 11.400 familles – soit plusieurs dizaines de milliers de personnes – sont sinistrées à la suite de ces intempéries. Les dégâts subis par les infrastructures sont considérables. Des avalanches ont bloqué la route centrale, qui relie Lima aux régions du centre du Pérou et qui est la principale voie d’approvisionnement de la capitale. Les pluies ont aussi détruit des ponts et ravagé des terres cultivées.

Un brusque réchauffement des eaux du Pacifique au large du Pérou a provoqué des pluies diluviennes qui ont à leur tour déclenché des débordements de rivière et des glissements de terrain.

Le phénomène, El Niño, est caractérisé par le réchauffement des températures à la surface de l’océan dans le Pacifique. Il devrait se poursuivre le long de la côte nord du Pérou pendant le mois d’avril. L’agence météorologique américaine estime de 50 à 55 % la probabilité que ce phénomène se développe dans la seconde moitié de l’année.

Les cours ont été suspendus dans les établissements scolaires à Lima. La consommation d’eau courante a été rationnée, les systèmes de traitement des eaux étant engorgés. La moitié du pays a été déclaré en état d’urgence.

Parmi les sinistrés, beaucoup sont très pauvres. Certains avaient construit des habitations de fortune dans des zones inondables qui étaient sèches depuis 20 ans.

Notre partenaire à Lima, Pasitos de Esperanza, se mobilise pour venir en aide aux sinistrés en organisant une campagne de collecte de vivres, de provisions, des premiers besoins et de dons.
Nous faisons aussi appel à vos dons pour la prise en charge urgente des milliers de personnes ayant des besoins de première nécessité (nourriture, eau potable, matelas, couverture, soins de santé).

logo quetzalma

Adressez vos dons par chèque à l’ordre de: « Pérou Solidarité » à Collectif HUMANIS – 7 rue du Héron 67300 Schiltigheim.

7ème consultation des associations de solidarité internationale

Vous êtes une association membre du Collectif HUMANIS, l’avez été par le passé, ou tout simplement intéressée par la solidarité internationale, nous vous invitons à participer à la 7ème consultation des associations de solidarité internationale ! Cette consultation a pour objectif (comme les précédentes) d’actualiser nos connaissances de vos besoins en matière d’animation, de services et d’outils, permettant ainsi de vous proposer des réponses en adéquation avec vos attentes de porteurs de projets.

Cette consultation a une importance particulière, ceci pour deux raisons : Tout d’abord, parce que cette édition s’inscrit dans un contexte institutionnel en mouvement où l’engagement solidaire, toujours plus indispensable, se trouve dans le même temps contraint à s’adapter aux enjeux sociaux. Ensuite, parce que cet outil permet de renforcer la connexion entre le Collectif HUMANIS, ses membres et plus largement, les acteurs du réseau.

Comme vous le savez probablement, la réflexion menée sur notre projet associatif a conduit le Collectif à une gouvernance collégiale depuis près d’un an. Ce modèle s’est construit en réponse à deux priorités : celle de décentraliser encore davantage les organes de décisions, tout en renforçant encore plus la place des associations membres du Collectif au sein de ces mêmes instances décisionnelles.

Voilà pourquoi vous trouverez à la fin de cette consultation une question spécifique sur votre volonté à intégrer l’une des commissions ou groupe de travail du Collectif. Plus largement, vos réponses sont primordiales pour l’élaboration du programme 2018-2020 de l’animation de réseau du Collectif, ainsi que pour la mise à jour des services proposés. Vous pourrez accéder à la Consultation en cliquant sur ce lien : 7ème consultation des associations de solidarité internationale.

Si le lien direct ci-dessus ne devait pas fonctionner, vous pourrez copier-coller l’adresse ci-après dans votre navigateur internet : https://goo.gl/forms/TbxwLwAECnEzWBxn2

Les premiers résultats seront présentés lors de l’Assemblée Générale du 10 Juin 2017. En cas de questions ou de problèmes, n’hésitez pas à nous solliciter. Nous pourrons vous appuyer au téléphone ou prendre un rendez-vous afin de répondre à vos interrogations. Nous nous ferons un plaisir de vous aider et d’échanger directement avec vous. Pour en savoir plus sur cette démarche de consultation, vous pouvez contacter Manon ALTHUSER, notre animatrice de réseau.

Le FAIVE lance un nouvel appel à initiatives !

Le FAIVE lance un nouvel appel à initiatives ! Répondez-y avant le 12 mai 2017 !

Le Forum des Acteurs et des Initiatives de Valorisation des Engagements (FAIVE) contribue à la reconnaissance et aux pratiques de valorisation des engagements volontaires et solidaires à l’international. Le FAIVE lance deux fois par an un appel à initiatives pour soutenir les structures associatives qui prend la forme d’un accompagnement et d’un appui financier. Les initiatives doivent s’inscrire dans l’un des trois axes du FAIVE :

  1. Processus d’accompagnement
  2. Valorisation des compétences acquises et articulation avec les parcours professionnels
  3. Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale

Une attention particulière est portée sur :

  • la dimension collective des initiatives, sur les partenariat mis en place,
  • les initiatives produisant de la mixité : échanges d’expériences et de pratiques sur différentes formes d’engagements volontaires et solidaires à l’international,
  • les initiatives concernant des publics éloignés des engagements volontaires et solidaires à l’international,
  • les initiatives produisant des outils, des connaissances partageables, des processus transférables,
  • les initiatives innovantes.

Les participations financières sont comprises entre 1000 € et 3000 € par initiative.

Logo du FAIVE

Ecosia, le moteur de recherche qui plante des arbres

Actuellement, le moteur de recherche le plus utilisé est Google, suivi de très loin par Bing. Essayer de s’imposer dans ce domaine est impossible aujourd’hui, mais d’autres initiatives commencent à émerger. Et si un moteur de recherche pouvait contribuer à replanter des arbres ? C’est le cas d’Ecosia, qui lutte contre la déforestation grâce à l’utilisation de son moteur de recherche.

Comment cela fonctionne ?

Suite à plusieurs voyages autour du monde et en comprenant les problèmes liés à la déforestation, Christian Kroll crée la start-up berlinoise Ecosia.

Comme tout moteur de recherche, Ecosia possède des liens publicitaires permettant d’obtenir des revenus pour chaque clic ou un pourcentage lors d’un achat sur un site partenaire. 80% des revenus sont donnés à des associations pour replanter des arbres au Pérou, Burkina Faso et Madagascar. Les 20% restant servent à compenser les émissions de CO2 de l’entreprise et des recherches effectuées, ainsi qu’à rémunérer les acteurs du projet.

Les recherches affichées par Ecosia sont générées par Bing ainsi qu’avec l’aide de leur propre programme pour plus d’efficacité. Un onglet Google existe pour pourvoir l’utiliser. Passer par cet onglet ne garantit pas la plantation d’un arbre après une recherche, mais assure une navigation à un taux neutre de carbone avec les résultats Google.

Les serveurs Ecosia consomme de l’électricité ?

Évidemment, chaque requête de l’utilisateur fait fonctionner un grand nombre de serveurs nécessitant de l’électricité. Pour compenser tout cela, Ecosia fait appel à Myclimate, qui possède un programme de compensation de carbone. Dans ce programme, l’organisation devra admettre ses émissions de gaz en passant par un bilan des émissions de gaz à effet de serre, investir dans des solutions pour réduire ses émissions. Le fondateur précise que les membres d’Ecosia adoptent un mode de vie et de travail pour soutenir le développement durable.

Un moteur de recherche en expansion

Traduit dans au moins 26 langues, il existe une application mobile disponible sur IOS et Android. Prochainement, la start-up envisage de proposer une fonction pour comparer les prix sur internet et de faire des suggestions sur des produits durables.

Pour plus d’informations : www.Ecosia.org

Sida, santé et développement

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Présentation :

La Fondation de France soutient des projets favorisant l’équité dans l’accès aux soins. Elle encourage les initiatives visant à impliquer les hommes et à renforcer « l’empowerment » des femmes. Seront soutenus les projets qui œuvrent en ce sens (prise en compte des problèmes sanitaires des personnes vivant avec le VIH, transmission parent-enfant, intégration du VIH dans les stratégies des services de planning familial, prise en compte des violences faites aux femmes…).

Objectif :

La Fondation de France souhaite aider les projets innovants qui répondent notamment à l’un des objectifs suivants :

  • promouvoir l’implication et la responsabilisation des hommes dans la lutte contre le sida et leur recours au dépistage et aux soins ;
  • prendre en compte les problèmes sanitaires spécifiques des femmes et des hommes vivant avec le VIH ;
  • prendre en compte les violences faites aux femmes comme facteur d’exposition au VIH et favoriser, dans ce contexte, la mise en place de nouvelles stratégies de prévention et de soins, y compris en direction des hommes auteurs de violences ;
  • intégrer la problématique du VIH dans les services de planning familial, de santé sexuelle et reproductive et réciproquement ;
  • prendre en compte la pression sociale à la maternité pour accompagner les femmes dans leurs stratégies de réduction des risques sexuels ;

Critères d’éligibilité :

Le porteur de projet devra remplir toutes les conditions suivantes :

  • démontrer son implication dans la lutte contre le VIH depuis au moins trois ans. Une expérience en santé sexuelle et reproductive depuis au moins un an est également souhaitable ;
  • être une structure apolitique et non religieuse ;
  • prouver sa capacité à gérer le projet présenté au regard du budget global de l’année en cours.

Financement :

L’aide de la Fondation de France est apportée sous forme d’une subvention annuelle ou pluriannuelle (durée maximale de trois ans). Les projets pluriannuels sont fortement encouragés.

Attention : la demande financière devra correspondre à un projet de taille réaliste, et être exprimée en fonction des besoins réels du projet. L’aide de la Fondation de France ne pourra prendre en compte qu’un seul projet par association demandeuse.

Zone géographique :

Mayotte, Antilles et Guyane, Bénin, Burkina-Faso, Burundi, Cameroun, Côte d’Ivoire, Djibouti, Gabon, Guinée, Île Maurice, Madagascar, Mali, Niger, République du Congo, République Démocratique du Congo, République centrafricaine, Rwanda, Sénégal, Tchad et Togo. Les projets devront être portés par des structures issues de ces zones géographiques.


Pour plus d’infos

Rencontre Solidaire : Pratiques et actions collectives pour une agriculture durable

Le 14 mars 2017, une Rencontre Solidaire sur l’Agro-écologie « Pratiques et actions collectives pour une agriculture durable », a été organisée au sein d’HUMANIS, avec l’intervention de Jean VOGEL, paysan et maire de la commune de Saales en France. Il a participé pendant 5 ans au démarrage et à l’essor d’un projet de développement et d’accompagnement pour des paysans du Fouta-Djalon en Guinée, qu’il suit maintenant depuis près de 30 ans en se rendant régulièrement sur place. Ce projet a poussé les paysans à se rassembler en fédération.

Son intervention a été très appréciée par les nombreuses associations présentes. Il a ainsi montré la nécessité d’éviter de faire du copier-coller de projets, car les régions, les sols, les climats ne sont pas les mêmes partout. Il nous fait donc part de la méthodologie qui a été mise en place et qui a permis le succès du projet.

Méthodologie pour une agriculture durable

  • 1ère étape : Gagner la confiance des paysans en ayant un comportement approprié.
  • 2ème étape : Repérer le type de sol : regarder ce qui pousse sur le sol pour savoir s’il s’agit d’un sol riche ou pauvre.
  • 3ème étape : Analyser les conditions climatiques et la densité de population de la région.
  • 4ème étape : Nourrir le sol par des matières organiques, gérer l’eau et reboiser.
  • 5ème étape : Sécuriser les plantations des animaux sauvages et des troupeaux.
  • 6ème étape : Identifier les filières de production et de vente.

Enfin, si vous être membre d’HUMANIS, le compte rendu complet de cette rencontre est disponible dans votre espace membre. De plus, de la documentation est disponible au CDSI d’HUMANIS pour consultation sur place ou en prêt :

  • Film « Les moissons du futur : Comment l’agro-écologie peut nourrir le monde » de Marie-Monique ROBIN (DVD)
  • Guides pratiques agro-écologiques département de Mbour, Sénégal. Documentation réalisée dans le cadre de la promotion de l’agriculture familiale en Afrique de l’Ouest.

Programme d’Appui aux projets des Organisations de Solidarité Internationale issues de l’Immigration [PRA/OSIM]

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APPEL A PROJETS 2017

  • Vous êtes une OSIM (Organisation de Solidarité Internationale issue de l’Immigration).
  • Vous avez un projet dans les secteurs suivants : Santé / Education / Eau / Développement Economique / Développement Rural et Agricole / Développement Social.
  • Votre projet se déroule dans l’un des pays suivants :

    Afghanistan, Afrique du Sud, Albanie, Algérie, Angola, Anguilla, Antigua-et-Barbuda, Argentine, Arménie, Azerbaïdjan, Bangladesh, Bélarusse, Belize, Bénin, Bhoutan, Bolivie, Bosnie-Herzégovine, Botswana, Brésil, Burkina Faso, Burundi, Cambodge, Cameroun, Cap Vert, Chili, Chine, Cisjordanie et bande de Gaza, Colombie, Comores, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Cuba, Djibouti, Dominique, Égypte, El Salvador, Équateur, Érythrée, Etats fédérés de Micronésie, Éthiopie, Ex-République yougoslave de Macédoine, Fidji, Futuna, Gabon, Gambie, Géorgie, Ghana, Grenade, Guatemala, Guinée, Guinée équatoriale, Guinée-Bissau, Guyana, Haïti, Honduras, Île Marshall, Île Salomon, Îles Cook, Inde, Indonésie, Irak, Iran, Jamaïque, Jordanie, Kazakhstan, Kenya, Kirghize, Kiribati, Kosovo, Laos, Lesotho, Liban, Liberia, Libye, Madagascar, Malaisie, Malawi, Maldives, Mali, Maroc, Maurice, Mauritanie, Mexique, Moldova, Mongolie, Monténégro, Montserrat, Mozambique, Myanmar, Namibie, Nauru, Népal, Nicaragua, Niger, Nigeria, Niue, Ouganda, Ouzbékistan, Pakistan, Palau, Panama, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Paraguay, Pérou, Philippines, République Centrafricaine, République Démocratique de Corée, République Démocratique du Congo, République Dominicaine, République du Congo, Rwanda, Samoa, SaTomé et Principe, Sénégal, Serbie, Seychelles, Sierra Leone, Somalie, Soudan du Sud, Soudan, Sri Lanka, Ste Lucie, Ste-Hélène, St-Kitts et Nevis, St-Vincent et Grenadines, Suriname, Swaziland, Syrie, Tadjikistan, Tanzanie, Tchad, Thaïlande, Timor-Leste, Togo, Tokelau, Tonga, Tunisie, Turkménistan, Turquie, Tuvalu, Ukraine, Vanuatu, Venezuela, Vietnam, Wallis, Yémen, Zambie, Zimbabwe.

La demande de subvention par projet est plafonnée à 15 000 euros, et dans tous les cas la subvention ne peut représenter plus de 70% du montant total du projet.

Le recours à un Opérateur d’Appui labellisé [OPAP] du PRA/OSIM est obligatoire pour pouvoir déposer un projet.

L’accompagnement des OSIM par les OPAP est totalement gratuit dans le cadre du PRA/OSIM (exclue la convention de partenariat OPAP-OSIM pour les projets financés).

Modalités de dépôt de candidature : voir dossier de candidature ci-joint.

Date de clôture de l’appel à projets : 21 mai 2017 à minuit.

Retrouvez le dossier de candidature du PRA/OSIM 2017 téléchargeable en format (Word) ainsi que le calendrier des réunions d’information, des ateliers d’écriture, des journées de formation, en ligne sur www.forim.net

Si votre OSIM souhaite apparaître dans la prochaine édition du répertoire national des OSIM, merci de remplir le formulaire ci-après, en cliquant sur ce lien.

Pour toute information :

FORIM
Lamine TRAORE ou Paul Henri KAMMEGNE
Chargés de mission au FORIM
Email : praosim@forim.net
Tél : 01 46 07 61 80
www.forim.net


Courrier de l’appel à projets



Guide du PRA/OSIM



Dossier de candidature (format Word)



Canevas du budget prévisionnel du projet (format Excel)

Appel à projets pour la solidarité internationale et l’éducation au développement

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La région Grand Est lance un appel à projets destiné aux associations, aux communes et groupements de commune et aux établissements publics. Il vise à soutenir les projets de solidarité internationale dans un pays en développement et les projets d’éducation au développement menés sur le territoire de notre région.

Dans le cadre de sa politique d’ouverture à l’international, la région Grand Est apporte son soutien aux acteurs régionaux porteurs d’initiatives locales et engagés dans des projets de solidarité avec des pays tiers. Elle apporte également son appui aux actions d’éducation au développement sur le territoire régional.

Afin de répondre aux besoins des acteurs locaux, la région lance un appel à projets destiné aux associations, aux communes et groupements de commune et aux établissements. Il vise à soutenir :

  • les projets de solidarité internationale dans un pays en développement, menés en coopération avec un partenaire sur place ;
  • les projets d’éducation au développement menés sur le territoire de notre région.

La deuxième session 2017 est ouverte jusqu’au 31 mai 2017.

Il remplace les appels à projets et fonds de soutien précédemment mis en place par les trois anciens conseils régionaux.


Pour plus d’infos

Le compte personnel d’activité (CPA)

Quel apport pour le bénévolat et le volontariat ?

La loi du 8 août 2016 a mis en place, à compter du 1e janvier 2017, le compte personnel d’activité (CPA).

Il permet à chaque salarié de réunir et d’accéder à tous les droits acquis au long de sa carrière tant en matière de formation, de chômage ou de pénibilité. Il est ouvert dès que le salarié entre sur le marché du travail.

Le compte d’engagement citoyen (CEC) est une composante du compte personnel d’activité. Il a été instauré afin de faciliter la validation des acquis de l’expérience (VAE) pour des activités associatives. Il recense les activités bénévoles ou de volontariat de son titulaire.

Il permet d’acquérir :

  1. Des heures inscrites sur le compte personnel de formation à raison de l’exercice de ces activités dans la limite d’un plafond de 60 heures ;
  2. Des jours de congés destinés à l’exercice de ces activités. L’employeur a la faculté d’accorder des jours de congés payés consacrés à l’exercice d’activités bénévoles ou de volontariat. Ces jours de congés peuvent être retracés sur le compte d’engagement citoyen.

Les activités ouvrant droit à des heures de formation :

  1. Le service civique
  2. La réserve militaire
  3. La réserve communale de sécurité civile
  4. La réserve sanitaire
  5. L’activité de maître d’apprentissage
  6. Les activités de bénévolat associatif, lorsque les deux conditions suivantes sont remplies :

    • L’association soit d’intérêt général et déclarée depuis trois ans au moins.
    • Le bénévole siège dans l’organe d’administration ou de direction de l’association ou participe à l’encadrement d’autres bénévoles, dans des conditions, notamment de durée, fixées par décret.

Consulter son compte

Pour consulter son compte d’engagement citoyen, il suffira de se rendre sur le site du CPA (www.moncompteactivite.gouv.fr) afin de découvrir le nombre d’heures acquises.

Chaque salarié ouvrira son CPA dès son inscription en renseignant sa situation professionnelle. Il permettra de consulter le compte d’engagement citoyen, le compte personnel de formation et le compte personnel de prévention de la pénibilité afin de savoir combien d’heures de formation sont acquises. Des explications pour savoir comment les utiliser seront également disponibles en ligne. Le service sera effectif en 2018 pour les premières déclarations au titre de l’année 2017.

Dis-leur que j’existe, une histoire sahraouie

Il est des destins qui sont écrits
dès la naissance. Celui de Naâma
Asfari fait partie de ceux-là. Issu
d’une famille de militants, il
devient juriste et milite pour les
droits des sahraouis.

Le Sahara Occidental est une
ancienne colonie espagnole,
occupée par le Maroc depuis
plus de 40 ans. Afin de régler
le conflit, l’ONU nomme une
mission en 1991, chargée d’organiser un référendum pour
l’autodétermination du peuple sahraouie… qui se fait toujours
attendre. De leur côté, les sahraouis continuent de lutter
pacifiquement pour leurs droits, dont l’apogée se traduit par
le campement de Gdeim Izik en octobre 2010. Naâma Asfari et
24 de ses compatriotes se feront arrêter lors du démantèlement
violent de ce camp par la police marocaine. Ils seront accusés
et condamnés à 30 ans de prison par un tribunal militaire
marocain à l’issue d’un procès entaché d’irrégularités.

«Ce procès sera peut-être la seule occasion pour nous de dire ce
que l’on a à dire, de se faire entendre, de le crier s’il le faut. Notre
voix portera la voix du peuple. Ce sera un moment historique.» – Naâma Asfari

A travers le documentaire de Manue BOSSET «Dis-leur que
j’existe», découvrez le combat de Naâma Asfari et de sa femme
Claude pour une (re)connaissance du peuple sahraoui.

Film documentaire à consulter au CDSI ou à voir le 11 mars
2017 à 20h Salle Ste Barbe, rue Ste Barbe, 67000 Sélestat:
http://acatselestat.fr/film-et-debat-a-ne-pas-manquer/

Insertion professionnelle, création d’emploi et insertion

La Fondation Agir Pour l’Emploi ENGIE contribue à l’insertion professionnelle et au retour à l’emploi des personnes qui en sont éloignées ou en situation d’exclusion. Elle accorde des subventions à des structures et acteurs de l’insertion qui se mobilisent pour concevoir et mettre en œuvre des projets pérennes au bénéfice des populations les plus fragiles.


Pour plus d’infos

Lutte contre l’exclusion de la Fondation BNP Paribas

La Fondation BNP Paribas lutte contre les différentes formes d’exclusion, dans les quartiers populaires notamment, soutient les programmes en faveur de l’insertion sociale et de l’éducation. Elle accompagne également les engagements des collaborateurs du Groupe.

Pour l’année 2017, le dépôt des projets se fait du 8 février 2017 au 31 mars 2017


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