Admical est partenaire des ABNL Non Profit Awards !

Les ABNL Non Profit Awards récompensent des actions d’intérêt général co-construites par des entreprises et des associations, ONG ou fondations, dans 5 catégories :

  • santé et recherche ;
  • art et culture ;
  • citoyenneté et éducation ;
  • environnement, paysages et territoires ;
  • solidarités et engagements internationaux.

Ces actions doivent avoir porté leurs fruits, avec un impact mesurable au bénéfice de la Société.

Cinq ABNL Non Profit Awards récompensent des partenariats remarquables entre entreprise(s) et associations, ONG ou fondations. Ils seront remis au cours d’une cérémonie qui se déroulera le 24 novembre 2016 au siège de Microsoft.

Les cinq binômes lauréats seront invités dans une émission spéciale A but non lucratif sur BFM Business le dimanche 27 novembre 2016 à 8h et 16h.

Le jury, présidé par Isabelle Weill, présidente de l’association RMC/BFM et réuni autour de Didier Meillerand, est composé d’organisations représentatives du secteur du mécénat et du non-profit :

  • Yaële Aferiat, directrice de l’AFF
  • Sophie Barniaud, co-fondatrice de Carenews
  • Charlotte Dekoker, déléguée générale adjointe d’Admical
  • Sylvain Reymond, responsable expertise mécénat et investissements citoyens chez Les Entreprises pour la cité
  • Nicolas Violette, co-fondateur de Common Cents

Les lauréats seront dotés d’une campagne de communication sur les antennes de RMC/BFM Business, de coaching media, d’un passage dans ABNL, de visibilité sur les sites des partenaires institutionnels, de conseils et de formations.

Envoyez votre candidature à nonprofitawards@abnl.fr avant le 15 novembre 2016. Une seule candidature par organisation.

Après l’ouragan Matthew, le point sur la situation en Haïti

Située dans les Antilles, la République d’Haïti est la partie Ouest de l’île de Saint Domingue ; la partie Est étant la République dominicaine. En 1492, cette île fut « découverte » par Christophe Colomb qui la nomma Hispaniola. Elle avait alors un important couvert forestier. En raison de l’augmentation de la population (10 911 819 habitants en 2015) et ses besoins, aujourd’hui, 97% de la forêt primaire a disparu provoquant une érosion qui emporte les sols.

A la suite du tremblement de terre survenu le 12 janvier 2010 (d’une magnitude de 7,0 à 7,3) et faisant environs 200 000 morts, Haïti déjà fragilisée par une extrême pauvreté (l’état faisant face à un déficit commercial représentant 25% du PIB entre autres) et l’instabilité politique (mandat parlementaires non renouvelés, manifestations antigouvernementales), souffre encore aujourd’hui. Le plan reconstruction et le relogement de la population n’a pas abouti.

Selon Médecins du monde, toutes les infrastructures sont partiellement ou totalement endommagées ; il n’y a plus d’électricité ou d’eau potable et une partie de la population est encore coupée du reste du pays.

Une fois encore, Haïti se retrouve vulnérable face aux changements climatiques. Les pluies torrentielles et les vents violents qui se sont abattus sur l’île ces derniers jours ont fait de nombreux dégâts, notamment dans le Sud du pays.

Alors que début 2016, le programme alimentaire Mondial (PAM) indiquait que 1,5 million d’Haïtiens étaient en situation d’insécurité alimentaire sévère, la situation s’annonce désormais critique.

L’ouragan Matthew, le plus violent qu’aient connu les Caraïbes depuis une dizaine d’années s’est abattu lundi et mardi les 3 et 4 octobre avec des rafales de vent soufflant à 230 km/h et arrachant tout sur leur passage.

Les premiers bilans qui faisaient état de 13 morts, se sont rapidement aggravés et sont estimés aujourd’hui à plus de 1000 morts, selon une compilation établie par Reuters à partir de données recueillies auprès de responsables locaux. Ce bilan risque fortement de s’aggraver.

Médecin du monde redoute une recrudescence de Choléra et d’autres épidémies liées au manque d’eau potable. En 2010, suite au séisme, au moins 9000 personnes sont mortes et une centaine de milliers infectée.

Membres du collectif HUMANIS, Handicap International, Médecins du monde, Médecins sans frontières et Terre des Hommes 68 qui sont présents à Haïti depuis de nombreuses années, font appel à vos dons pour la prise en charge urgente des milliers de personnes ayant des besoins de première nécessité (nourriture, eau potable, soins de santé).

Les dons peuvent être envoyés directement à Médecins du Monde ou Handicap international soit sur leur site internet soit par voie postale

Handicap International
138, avenue des Frères Lumière- 69008 Lyon

Médecins du monde
62, Rue Marcadet – 75018 Paris

Médecins sans frontières
8 Rue Saint-Sabin, 75011 Paris
www.msf.fr

Terre des hommes
18 rue de la République 68500 Guebwiller
http://www.tdhf68.org/

Plus d’informations

  • Collectif Haïti France
  • Le nouvelliste
  • Le monde
  • IFCR

Association Fanantenana Espoir, un lycée à Madagascar

C’est à l’initiative de plusieurs amis des frères de la Doctrine Chrétienne (appelés en Alsace « Frères de Matzenheim ») et de frère Claude que s’est créée l’association en octobre 2000. Fanantenana-Espoir soutient différents droits essentiels à Madagascar : le droit à l’éducation, à l’hygiène et à la santé, le droit au travail et le droit à l’eau propre.

L’association travaille sur le terrain, là où sévit la pauvreté, notamment dans les villes de Fianarantsoa et Anosibe an’Ala.

L’aide régulière apportée par Fanantenana-Espoir auprès de la population malgache est :

  • L’aménagement de la vallée de la Vakoa située dans la brousse près de Fianarantsoa (Suivi des ouvriers chargés de l’entretien du site, plantation d’arbres fruitiers et d’agrumes, reboisement, adduction d’eau potable)
  • La préscolarisation et l’éducation à l’hygiène et à la santé pour les enfants de la brousse. En période de soudure, environ 6OO enfants viennent au centre.
  • La formation dans les ateliers de menuiserie et de broderie.
  • La formation des parents aux nouvelles techniques agricoles.

En 2016, l’association présente son projet d’agrandissement du Collège Maria-Manjaka à Fianarantsoa, l’établissement étant devenu Lycée pour permettre la continuité du cursus scolaire jusqu’au baccalauréat. La construction de quatre salles de classe supplémentaires s’avère nécessaire.

Pour cela, Fanantenana-Espoir lance la campagne : « Apportons une pierre à l’édifice » avec la contribution de Dorian TROESCH, jeune étudiant.

Pourquoi ce projet ?

En 1967, les Frères de la Doctrine Chrétienne de Matzenheim (Alsace) créent un collège en agrandissant l’ancienne école primaire de Fianarantsoa. Vu les résultats scolaires excellents, la notoriété de l’établissement se répand. En 2001, le collège prend son véritable essor par la construction d’un nouveau bâtiment et l’établissement accueille 1000 élèves. Décision est prise à la demande des parents d’élèves d’ouvrir deux classes de seconde dès la rentrée 2014.

Aujourd’hui, le collège accueille 1100 élèves et les locaux sont trop exigus pour assurer un enseignement de qualité et dans des classes pas trop surchargées. Il faut donc apporter des pierres à l’édifice.

L’association vous invite à devenir un « maçon virtuel en apportant votre brique » dans le but de rehausser le bâtiment construit en 1967 et créer 4 salles de classe supplémentaires pour assurer la continuité du cursus scolaire jusqu’au baccalauréat. Ce bâtiment portera le nom de François Romain (BERNERT François) natif de Saint-Jean Saverne.

Fanantenana Espoir

Pourquoi construire un lycée à Madagascar ?

A Madagascar, 30% des enfants scolarisés vont au secondaire dont 9% vont au lycée. L’accès au lycée est exceptionnel et il faut augmenter l’offre pour permettre la poursuite des études à un nombre plus important d’élèves et donner ainsi l’espoir d’accéder à l’enseignement supérieur.
L’éducation est la pierre angulaire pour sortir le peuple malgache de la pauvreté. L’éducation aide les personnes à avoir un travail décent, elle améliore leurs conditions de vie et par là même leur santé.

Quand se réalise ce projet ?

Les travaux sont effectués durant les vacances scolaires malgaches. Le coût total est estimé à 62 127 euros ; 30 000 euros sont déjà récoltés, 10 000 euros sont versés par Fanantenana-Espoir sur ses fonds propres. Il reste à trouver 22 127 euros.

Fanantenana-Espoir vous invite à participer à l’aventure : il est essentiel d’apporter sa pierre lorsqu’il s’agit de construire un établissement scolaire.

Les dons peuvent se faire en ligne sur les sites Helloasso
Fanantenana Espoir